Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Maître Abdu
Histoire gay publiée le 03/12/2015
Dans la glace au dessus du lavabo, j'avais vraiment une gueule de petasse. Du jus plein la gueule qui coulait mais je me suis souri. A part les humiliations pas trop dures, c'était sympa de se faire baiser. J'ai pris une douche pour virer le jus et en palpant mon cul je l'ai trouvé plus souple qu'avant. J'ai rigolé. Si mes parents me voyaient. Je me suis séché et je suis descendu retrouver RV qui avait l'air content. Ton futur maître vient de voir ta prestation et a fait une offre qu'on refuse pas. Suis moi au sous sol. Une fois en bas, devant une porte de fer, il a dégagé sa queue. Suce moi la petasse, c'est pas sur qu'on se revoie. Je me suis penché sur son sexe et je l'ai sucé en le regardant dans les yeux, attentif au moment ou il allait lâcher son jus. Il m'a plaqué la tête dessus et il a joui à gros jets puis plus petits. Il a attendu que j'avale. Bon tu passes la porte, elle va se refermer sur toi. Tu seras dans le parking d'à côté. Tu attends la avec juste ton collier, il viendra te chercher. J'ai hésité mais il m'a poussé et la porte s'est refermée sur moi. Je me trouvais dans un de ces parkings immenses hyper éclairés avec une légère odeur d'urine mais au sol peint et lisse. Une voiture garée face à la porte a eu les phares allumés en plein sur moi. Je me suis protégé les yeux et le sexe. Enlève ta main salope, et avance un peu plus près. Montre ta chatte! Dépêches toi. Je me suis retourné et penché en avant, écartant mes fesses. Bon. Tu enfiles ça sur la tête et tu montes dans le coffre. J'ai vu arriver le truc, c'était une cagoule qui aveuglait totalement et j'avais entendu le déclic du coffre qui s'ouvrait. Je me suis repéré et j'ai mis la cagoule allant vers la voiture et la suivant jusqu'au coffre ouvert. Je le suis couché dedans en chien de fusil. On a claqué le coffre et la voiture a démarré. Après un arrêt elle s'est engagée dans la rampe et on a roulé, surement en ville, j'entendais des voix assez proche et il y avait des arrêts surement dus aux feux. Puis la voiture a pris de la vitesse. J'ai essayé d'imaginer ou on allait mais il y avait trop de possibilités. On a ralenti et après deux virages la voiture s'est arrêtée. Le coffre s'est ouvert et un asiatique a retiré ma cagoule. Il m'a tendu mon téléphone. Tu préviens chez toi que tu seras absent et que tu ne pourras plus te servir de ton portable. Tu coupes après. Je suis tombé sur le répondeur des grands parents et leur ai laissé le message, concluant par gros bisous. Il m'a repris le portable et avant de refermer le coffre il a retiré la batterie. C'est ton dernier appel avant que tu sois un esclave très docile. Il a refermé le coffre et on est reparti après m'avoir fait pisser au ras du coffre . Cette fois ça a été plus long et à la fin très tortueux et montagneux. Enfin après un coup de klaxon et un peu d'attente la voiture est passée sur un truc qui résonnait, genre pont en planche. Encore un peu d'attente et le coffre s'est ouvert j'étais ébloui mais dès que ma vue s'est adaptée j'ai compris qu'on était dans la cour d'un château. Vaste étendue gazonnée ou l'asiatique m'a aidé à sortir. Profites de ce que tu voies, à moins d'être très doué avec ta bouche ou ton cul, t'en verras pas plus. Il a fixé une laisse à mon collier et m'a entrainé dans la grosse tour. Au passage j'ai remarqué des mecs, certains nus, d'autres avec un simple pagne. On a descendu des escaliers avant d'entrer dans une salle assez vaste. Sur les murs à hauteur du regard on voyait des reproductions en latex ou résine d'un sexe exceptionnel par la taille et l'épaisseur. Regarde le, c'est un moulage du sexe de maître Abdu. C'est lui qui te fera crier de douleur ou de plaisir mais il faut quand même un peu de préparation avant que je t'emmène le voir. Il a attaché de nouveau mes poignets au collier avant de se changer, ne gardant qu'un short cuir et enfilant un gilet cuir sur son torse et de lourdes chaussures noires. Il a mis un petit escalier devant un cheval d'arçon comme dans les gymnases et m'a aidé à monter dessus. J'ai juste deviné une protubérance sur laquelle il a positionné mon trou. Il a alors fixé des trucs en cuir à mes chevilles qu'il a relié à des anneaux fixés au sol, me tenant attrapé sur le cheval. Il a passé un truc crémeux et gras sur mon cul. Ecoute moi. Il y a, exactement ou presque, sous ton trou un gode plus petit que la queue de maître Abdu je vais le faire sortir un peu pour l'ajuster sur ta petite chatte que l'on va habituer à se dilater de plus en plus, jusqu'au diamètre et à la longueur de la queue que tu vas vénérer. Comme tu l'as remarqué il n'y a pas d'autres issues que cette porte et la salle en plus de sa profondeur a été capitonnée. Tu peux donc crier autant que tu veux. Moi j'aime entendre crier les salopes. On changera le gode jusqu'à la bonne taille. Après un temps de travail forcené de ta chatte et un instant de repos avec le gode dans ton cul qui va se dilater comme tout ceux qui sont passés avant toi. Je commence. J'ai senti la pointe ronde du gode pénétrer de deux centimètres, il m'a fait bouger un tout petit peu, et le gode a commencé son travail inlassable de va et vient. Au début ce n'était pas désagréable, même si le gode me travaillait bien, je bandais. Je ne sentais pas le temps passer, n'ayant aucuns repères. La machine s'est arrêtée en moi, remplissant de façon agréable mon trou puis, après l'avoir fait sortir par dessous le cheval, j'ai senti un engin d'une autre taille me pénétrer. Je ne pouvais pas me soulever, juste accepter le gode que je ne voyais pas me limer. La douleur a été intense au début avant de s'atténuer doucement au point que je me suis senti excité et que j'ai bandé. Joli la lopette! On verra dans un moment si t'es fait pour maître Abdu. Mécaniquement le gode allait et venait dans mon cul, sans pitié mais sans fatigue J'ai vite remarqué que la base était souple et que je pouvais m'incliner en avant ou en arrière. Il frottait de façon différente, plus ou moins fort sur ma prostate. Un bon moment après il s'est arrêté, restant dans mes fesses entièrement. j'étais impuissant, j'aurai voulu qu'il me laboure encore et encore. Pui sans prévenir la machine s'est remise en route plus vite, je haletais, gémissais, tout à mon envie de me faire défoncer. La encore la machine s'est arrêtée. Cette fois l'asiate est passé sous le cheval, abaisser le gode et le sortir pour le changer. On va voir si cette fois tu prends ton pied comme tout à l'heure. Je te mets le modèle de la queue du maître. Il a positionné le gode d'un centimètre dans mon trou ouvert et il est sorti voir mon comportement. Quand le gode est entré j'ai gueulé, vraiment gueulé comme une chienne, Ce truc me emblait trop gros, impossible à prendre. L'asiate qui le commandait le faisait pénétrer doucement, jouissant je le voyais bien de ma douleur. Il est presqu'au fond. Couine ma belle lopette. J'aime te voir prendre la queue du maître. Gémis, râle, gueule. Cette fois il est au fond mais tu vas le sentir te ramoner, doucement, puis de plus en plus vite, A toi d'assumer la queue du maître comme tu le fera tout à l'heure. Pour couiner j'ai couiné ce truc monstrueux me limait, doucement mais à fond butant le fond de mon trou, se retirant pratiquement à fond avant de recommencer. Le mec prenait des pics de ma gueule de face et de mon cul légèrement décollé quand le gode était bien à fond. C'est incroyable tu baves de la bite comme une femelle mouillerais du clito. Il va adorer te la mettre. T'auras une vraie chatte à la place de ton cul. La machine accélérait et je montais dans les aigus en couinant, incapable de maitriser mes sentiments mêlés de douleur et de plaisir. Quand il a arrêté et dégagé le gode je me suis écroulé sur le devant du cheval d'arçon. Il en a profité pour prendre la pic de mon trou, avant de défaire les attaches de mes chevilles et d'approcher l'escabeau. Appuie toi sur moi pour descendre. Tu vas te reposer dans le coin. Je vais passer de l'eau fraîche sur ton cul pour le resserrer un peu. Tu remonteras après te présenter au maître. L'eau était très fraîche, j'ai senti les bords de mon cul comme si on l'ébouillantait avant que ça se calme. Il passait l'eau à l'aide d'une éponge et j'en fermais les yeux de bonheur vers la fin de sa demi caresse. Tu peux te relever? Essaye. J'ai eu un peu de mal mais bon je tenais debout. Monte l'escalier jusqu'au rez de chaussée. prends ton temps je suis juste derrière. Attend j'ai oublié. Il a passé l'éponge sur ma queue, surtout sur mon gland baveux avant de me faire lécher l'éponge. Tu as bon goût? C'est épicé. Le maître va aimer que tu baves. Une femelle doit baver. J'étais doucement arrivé au rez de chaussée et il m'a fait sortir. Je voyais au regards des mecs qu'ils savaient ce qui s'était passé. Pas trop dur pour eux, j'étais encore flageolant. Le mec m'a fait entrer dans une grande salle avec de grandes fenêtres avant de me dire d'attendre la. Il est entré dans une autre pièce sans fermer la porte. Maître je vous amène la salope que vous avez vue par RV. Elle supportes très bien comme vous l'aviez prévu une taille certes un peu moindre mais elle devrait vous satisfaire. Il m'a fait signe d'entrer et allongé sur le lit j'ai vu un mec immense avec les cheveux courts mais j'ai surtout fixé ce que j'allais devoir satisfaire. Au repos j'aurais été content d'avoir un sexe comme le sien.