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La parfaite petasse
Histoire gay publiée le 02/03/2016
Je suis toujours à Bastia, et c'est l'après-midi cool pour se vider la tête après bien des des depuis quinze jours. Je décide d'aller faire du sport. D'abord de me faire casser en faisant de la boxe. Puis de compléter ma journée par la piscine. A la boxe, je tombe sur deux ou trois mecs en shorts, pectoraux à nus, des beaux bruns, bien fin pour l'un des mecs, mais sec, musclé quand même; tous bruns. Des Arabes et un jeune mec blond, yeux verts, et dans un coin, un joli roux, aux yeux et aux épaules de rêve, qui les regarde.Ils se succèdent sur le ring. Je suis en tenue, prenant un air timide de parfaite petasse. Je me prends à dévisager deux des Arabes et le blond. Mais au fond c'est le roux qui me fait kiffer grave, même si je fais mine de pas le voir. Je sais qu'il me regarde. Je décide de laisser les mecs me casser la gueule, en esquivant à peine. J'aime leurs coups, bien dosés sur ma face, contre mes joues, ma bouche, mon nez, mon front, mes côtes, mon ventre. Je me sens chaud, battu à fond. C'est bon. Au bout de trois combats, à chaque rounds, je me sens plein de douleurs, et je me colle au mec, tour à tour à Karim, le plus beau des Arabes, si bien bâti qu'il m'intimide, malgré mon mètre 87. Il est beau à crever, et il s'acharne contre mes côtes, sa garde haute me fouette la gueule, me laboure le corps et le visage. Je me frotte contre lui, bras ballants, puis collés. C'est kiffant: il sent fort et bon, un mélange de caramel et de café suant sur mon visage et contre tout mon corps, par des coulées qui sont chaudes comme du sperme. Puis c'est Farid, fin et rapide, qui me bat à plates coutures. C'est le pied. Hicham, enfin, avec ses yeux bleus si longs et fendus, me met les genoux à terre. Alors, le blond si parfait et le roux les rejoignent sur le ring.Ils enlèvent tous leurs shorts, et contemplent mon visages avec ses quelques filets de sperme, ses ecchymoses, ses bleus bien marqués. J'ai mal, mais je me sens bien, vide et près à me vider et à être vidé.19 heures, je me suis bagarré mollement en leur jetant des regards admiratifs pendant trois heures. Je me sens capable d'obéir à tout. Je reste à genoux. Ils m'entourent, m'encadrent; Antoine me saisit sous les bras, me soulève. J'ai les jambes affalées contre le sol du ring, son tapis bleu comme les yeux de mon Arabe de coeur. Antoine le blond super, me relache d'un coup, je tombe et me touche la gueule au tapis. Je suis sonné. Alors ils m'entourent, et pissent ensemble sur mon corps, si abandonné, j'en ai plein le torse, les jambes, sur les lèvres ouvertes et gonflées, sur le nez et le front, les yeux et les paupières, plein les cheveux. J'ai envie de me mettre à nouveau à genoux, je reçois des coups par terre, dans les côtes et sur les cuisses, les bras. Je gémis. Je montre que je kiffe, grave. Putain, ils me disent: "Alors, salope, t'aimes te faire battre?" Je dis que je préférerai qu'ils m'aiment tous, car moi je les adore. Ils se regardent. Farid et Hicham me relèvent, jusqu'à la hauteur de leurs sexes, impeccables et bien dressés, parfaitement gonflés: je les suce ensemble pendant dix minutes au moins. Antoine et Marco, le merveilleux roux sont passés derrière moi, Marco me prend les pieds dans les mains puis les lèchent, les sucent. Je bande comme un fou. Antoine me doigte le cul, d'autorité tout de suite trois doigts, et me saisit la queue en la ramenant vers le cul, il me branle à fond... J'ai la gueule pleine des bites de Farid et Hicham. Karim lui me bouffe la gueule de baisers et crache sur mon visage et mon torse. Je suis mouillé, soumis, de plus en plus chien. Antoine m'embrasse à son tour, et puis aussi Marco. Ils carressent Karim et mon cul. Ils se regardent, se sourient tous, et me chuchote a l oreille : "On sait que t aimes la bite". L'ensemble des mecs m'a enfilé alors par tous les trois jusqu'à 22 heures. Ensuite, ils m'ont jeté dans la piscine, m'ont lavé, m'ont redoigté le cul et réembrassé, et le roux le beau Marco m'a carréssé, doigté, sucé, et relavé. C'était une super journée de sport. J'en redemande...