Tenu par les couilles - 2
Histoire gay publiée le 25/06/2019
Allez je me lance dans l’écriture d’un autre plan avec mon p’tit bâtard kiffeur de TN et que je tiens par les couilles depuis quelques semaines. D’abord un merci à DC qui publie sur le site et qui m’a demandé la suite … Ca fait quelques semaines que l’on se s’est pas vu avec Ced. Entre le plan que je vous ai raconté et celui-ci, il y en a eu un autre qui n’a pas été extraordinaire. J’ai voulu trop rapidement lui rouler des pelles et comme je ne l’avais pas assez dominé il n’était pas dans l’ambiance et le plan a tourné court. Je lui ai juste fait essayer mes rekins et il est reparti. J’ai cru qu’on se reverrait plus. Mais il me contacte un soir pour me dire qu’il repassait dans ma région et qu’il voulait que je m’occupe de son cas. Ok rendez-vous est pris le lendemain à la gare. Comme à chaque fois que l’on se voit, je n’arrête pas de penser à sa p’tite gueule de lascar avec sa barbe de quelques jours et ça m’excite. Bon j’arrive dans le parking de la gare. Je descends de ma voiture. J’arrive près de l’entrée. Il est déjà arrivé. Toujours avec son look Lacoste avec la veste qu’il avait la dernière fois et son nouveau bas de jogging Lacoste bleu et jaune (couleurs que je surkiffe) et ses TN grises dégradées toujours aussi bien portées. Je ne sais pas ce qu’il porte sous son survêt Il va chercher les clés de son véhicule de location. Je le suis pour pouvoir mater ses pieds et son p’tit cul. Comme à l’habitude, on dépose ses affaires dans mon coffre et je le conduis jusqu’ à sa caisse. Avant de démarrer, je tends ma main vers son entrejambe. Il se laisse faire et à l’air déjà bien excité. Je démarre et nous nous dirigeons vers ou il est garé. On s’arrête devant sa voiture et avant qu’il descende je lui choppe les couilles au travers de son Lacoste. Il se fige par la surprise et émet le cri caractéristique de quand il kiffe. Ce qui est excitant c’est que quelqu’un pourrait le voir avec ma main sur ses boules. Je décide de le lâcher mais j’ai vu que cette surprise lui avait plu. Il me suit pour aller chez moi mais doit se garer un peu plus loin car il n’y a pas de place à coté de mon immeuble. Et là, à peine rentré dans ma voiture. Je lui rechoppe les couilles et pendant les 500 derniers mètres de route il est resté la gueule ouverte car je lui broyais bien les boules. Il faisait sa gueule de bâtard qui supplie que je maintienne la pression. Nous voilà enfin arrivé chez moi. Il se met à l’aise et me demande s’il peut aller pisser. Et là j’ai ma petite idée pour voir s’il veut plus que de se faire broyer les couilles. Je me glisse derrière lui dans les chiottes lui caresse son p’tit cul et aventure un doigt vers sa rosette. Il se laisse faire et après quelques secondes il me dit que ça l’empêche de pouvoir pisser. Bon finalement, le p’tit hétéro semble vouloir qu’on joue avec son trou. Bon je le laisse finir de se soulager tranquille. Deux trois minutes après, il revient vers moi discrètement et viens se frotter contre moi. Le bruit du frottement de nos pantalons de survêt nylon est tellement kiffant. Ce crissement me met dans l’ambiance. Ced est passé en mode bâtard. Ses pulsions sexuelles prennent le dessus. Il vient se frotter comme le ferait un chien en manque sur la jambe de son maitre. C’est le moment d’aller sur le ring pour que je le domine. Arrivés dans la chambre, je le fais tomber sur le lit et je dois lutter pour garder le dessus sur lui. Sentir qu’il essaye de tout faire pour ne pas se laisser faire m’excite. J’arrive à le maitriser : il est dos sur le lit, je lui tiens les poignets. J’approche ma cuisse de ses couilles et déjà je le sens frémir. Il sait que je vais les lui broyer sans retenue. Le premier contact lui fait pousser un cri de plaisir. J’appuie de plus en plus. Sa queue également réagit. Elle reprend de la vigueur grâce à ce traitement. C’est tellement bon de voir un mec qui succombe au plaisir de se faire broyer les couilles. Moi aussi je prends plaisir à le voir souffrir sous ma pression. Plus je l’entends gueuler, plus elle se dresse d’envie. C’est tellement bon de pouvoir maitriser le plaisir d’un mec rien que par ce geste. Pour le faire kiffer un peu plus, je reprends maintenant ses couilles directement à pleine main et à lui titiller le trou. Il semble apprécier. Je le sens totalement désinhibé. Il ne pense plus qu’au plaisir de jouir sous le contrôle de son maître. Après plusieurs minutes d’un traitement intensif où ses couilles passent successivement entre mes mains, sous mon genou et sous la semelle de mes TN, je prends sa queue en main au travers de son short pour le finir. Pour bien le faire kiffer, je lui colle de puissance ma rekin gauche à sniffer. Il se met à couiner comme jamais. Et surtout, je vous que ce n’est plus moi qui le branle mais lui qui me baise la main. Et comme la dernière fois, il jute dans son short de footeux. Avant de partir, il m’avoue que d’avoir senti mon doigt à l’entrée de son trou lui donne envie de se retrouvé avec une queue dans son trou de puissance. A voir lors de notre prochaine rencontre. Mais là il faudra que je trouve le moyen de bien le ligoter pour qu’il ne puisse pas y échapper. Et je suis sûr qu’une fois rentré à son hôtel, il a bien sniffé son short souillé de son jus…