Histoires de sexe

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Profession: vide-couilles
Histoire gay publiée le 18/02/2021
Le mec me contacte pour un plan direct je le connais déjà, mais il me dit : ce soir, pas de bisous, tu arrives, tu te dessapes dans l'entrée, tu rentres dans le salon et tu taffes sans m'der, je mate une série. Je prends le métro vers 23h (avec le couvre-feu, Paris la nuit, c'est vraiment la zone), je cours chez lui, et je fais comme il m'a dit: à poil, à genoux, on ouvre grand la bouche et on enfourne. je suis une pipeuse de compétition, tout le monde me le dit, mais là le mec me fait découvrir de nouveaux horizons: le mec me fait enfourner ses boules en plus de sa bite! Je m'éssouffle presque, mais il donne des ordres très précis d'une voix ferme. pas question de regimber: j'enfourne tout, en écartant la mâchoire au-delà de ce que je croyais possible. Il me doigte en même temps, et moi qui suis d'habitude bien étroit, je m'ouvre sans souci: il a trouvé la clef de ma lopitude. Je gémis, je respire à peine, et là il me dit "respire par la bouche, c'est possible". je découvre qu'il a raison et que ça lui procure un massage de la gorge qui fait encore plus durcir sa queue. sa bite est moyenne, recourbée, mais qu'est-ce qu'elle pilonne bien en fond de gorge. La domination, de toutes façons, c'est pas physique: c'est l'autorité qui fait que j'obéis. Il veut pilonner même si c'est pas le bon angle? Oui maître. Il m'impose de gober couilles et bites et en plus de jouer de la langue? Oui maître. Il veut taper sur le cul et me dit d'enlever les mains de ses couilles? Oui maître. Il me biffle et commence à me tirer les cheveux. Encore maître. Il continue à élargir le cul et y introduit un objet non identifié sans prévenir? Fais comme tu veux maître, je suis ta chose. Je ne bande plus. Il me demande si je suis fatigué. je dis "un peu", mais que je vais faire des efforts jusqu'à ce qu'il soit content. Bonne réponse, je sens le jus qui monte dans la hampe de sa bite, il m'empale la tête jusqu'à la garde sans faiblesse. Puis, sans merci ni rien : "pars, tu connais le chemin". Je me rhabille, je file chez moi à 2km de là. Il est minuit. Dans la rue en bas de chez moi, une voiture de flics passe, sans s'arrêter. Ouf! Mais de toutes façons, j'avais une attestation en règle et une justification toute prête. Profession: vide-couilles.