Mon Master Sans Pitié
Histoire gay publiée le 27/02/2025
J’ai 35 ans, un mec lambda, discret, pas trop mal foutu mais rien d’exceptionnel. Depuis quelques mois, je traîne sur des sites de plans hard, cherchant un truc qui cogne, qui me pousse dans mes retranchements. Et puis je tombe sur lui : "Master K", un pseudo qui pue la testostérone. Sa description est courte : "Mâle alpha, 45 ans, 1m90, 100 kg, pas de bla-bla, pas de limites. Si t’es pas prêt à morfler, passe ton chemin." Il balance une photo : torse large, poilu, muscles épais, une gueule carrée mal rasée, et une bite dans son froc qui annonce la couleur. J’l’ai contacté direct, un mélange de trouille et d’excitation au ventre. Sa réponse : "Ce soir, 22h, chez moi. T’arrives en jockstrap, tu sonnes, tu fermes ta gueule."
J’me pointe à l’heure, dans une baraque isolée en banlieue, un coin glauque avec des entrepôts abandonnés. J’tremble en appuyant sur la sonnette, juste vêtu d’un jock noir sous mon jogging, comme il m’a ordonné. La porte s’ouvre, et il est là : immense, en débardeur noir et short de sport, une clope au bec, une odeur de sueur et de cuir qui me prend à la gorge. Il me mate comme un prédateur, pas un mot, pas un sourire. Il claque la porte derrière moi et me pousse direct contre le mur. "À poil, maintenant." J’obéis, fais tomber mon jogging, et il ricane : "T’es qu’une merde, regarde-toi." Sa voix est froide, tranchante, sans une once d’humanité.
Il m’attrape par les cheveux, me traîne jusqu’à un canapé défoncé au milieu du salon. Là, il baisse son short, et je vois sa queue : un truc massif, 22 cm minimum, large, veinée, avec des couilles lourdes qui pendent comme un défi. Il me colle une baffe qui claque : "Suce, et fais-le bien, ou j’te démonte la gueule." J’ouvre la bouche, j’galère à prendre son engin, mais il s’en fout. Il m’enfonce la tête d’un coup, sa bite cogne le fond de ma gorge, et j’m’étouffe direct. Pas de douceur, pas de pause. Il me baise la bouche comme un trou, grogne des insultes : "T’es rien, juste une salope à jus." J’bave, j’pleure presque, mais il s’en branle, ses mains serrent mon crâne comme un étau.
Après un quart d’heure à me ravager la gorge, il me vire d’un coup de pied, me fait tomber à quatre pattes. "Bouge pas, sac à foutre." Il crache sur mon cul, un gros mollard qui coule entre mes fesses, et sans prévenir, il m’empale. Sa queue rentre d’un coup, sans prépa, et j’hurle. La douleur me déchire, un truc qui brûle, qui m’éclate de l’intérieur. Il grogne : "Ferme ta gueule, t’es là pour encaisser." Il commence à me pilonner, fort, profond, chaque coup de reins me fait glisser sur le sol crade. J’sens son poids, sa puissance, et moi, j’suis rien. Un vide-couilles, un objet qu’il utilise pour se vider.
Il m’attrape les hanches, ses doigts s’enfoncent dans ma peau, et il accélère. Sa bite me remplit, m’écarte, me casse en deux. Y’a pas de rythme, pas de pitié, juste une machine qui me défonce. J’gémis, j’supplie presque, mais il me claque le cul : "Ta gueule, t’es pas là pour parler." J’me sens minuscule, humilié, réduit à un trou pour son plaisir. Et pourtant, un truc tordu en moi kiffe ça, cette sensation d’être une chose, un jouet entre ses mains vicieuses. Il me lime pendant vingt minutes, sans s’arrêter, sans ralentir, son souffle rauque dans mon dos, ses insultes qui pleuvent : "T’es qu’un chien, une pute à zeb."
D’un coup, il se retire, me retourne comme une loque et me balance : "Ouvre." J’obéis, à bout, et il jouit direct. Des jets épais, chauds, qui giclent sur ma gueule, dans ma bouche, sur mon torse. J’avale ce que j’peux, le goût amer me brûle la langue. Il essuie sa queue sur ma joue, ricane : "T’es bon qu’à ça, vider mes couilles." Il se rhabille, me mate une dernière fois comme si j’étais une merde sur le trottoir, et me jette dehors, à moitié à poil, son sperme encore collé sur moi. "Reviens quand j’t’appelle, sac à foutre." La porte claque, et moi, j’reste là, sonné, humilié, mais déjà prêt à ramper pour lui encore.